Un des trucs vraiment bien avec le scoutisme « perdu dans la forêt » (généralement des terrains incultivables que des paysans nous louent) par opposition au scoutisme en camp fixe (le stéréotype américain, genre camp Lazlo) c’est d’avoir un bout de nature sauvage où tu peux te perdre un peu.
Bien sûr, c’est plus labile, des conditions plus rudes et tu risques de te faire tuer par un sanglier en allant pisser, mais pour s’isoler dans un cadre bucolique c’est bien.