007 – Feu de Farine Feu de Conserve
C’est un oubli beaucoup plus courant qu’on ne penserait, à la dangerosité variable mais à éviter.
Une BD sur le scoutisme et ce qui s'ensuit
C’est un oubli beaucoup plus courant qu’on ne penserait, à la dangerosité variable mais à éviter.
Certains chefs scouts aiment bien conclure leurs picassos (des horaires de camp, qui finissent par ressembler à des tas de rectangles multicolores une fois remplis et qu’on devrait donc plutôt appeler des Mondrian) avec une plage qui fonce vers minuit intitulée « TAPS » c’est-à-dire « Tous Au Pieu Silence ». Ça n’a rien d’insultant et à ce… Continue reading 008 – TAPS
Et voilà la dernière page de la Folnuit. J’ai lutté beaucoup trop lutté avec cette page, mais je suis relativement content. Pas forcément pour ce chapitre. Le but c’était un laïus court (10p. c’est pas mal) avant le prochain chapitre. Le but c’était aussi d’aller vite, mais bon, ça… C’est heureux de pouvoir bosser… Continue reading 010 – La Tour
Inspiré d’une histoire vraie.
J’ai mis des mois à parvenir à faire cette page, et je l’ai faite beaucoup trop dense ! (EDIT : corrigé un peu) Mais au moins je suis de retour. (EDIT : je ne l’étais pas) Je pense que je vais d’abord faire l’entier du crayonné et l’encrer en entier, donc la suite devrait arriver… Continue reading 10 – horizons rouges
La cour d’honneur c’est une réalité scoute que j’ai pas vraiment connu, mais c’était une part des romans scouts que je lisais donc pourquoi pas l’intégrer comme une tradition démodée ?
La couverture du chapitre et le rêve de Mina le livraient peut-être déjà trop.
Je me disais que les commentaires de webcomics comme celui que je rédige maintenant ont un peu pris la place de la tradition BD commentaire méta qu’on trouvait dans quelques cases de textes, avec des astérisques pointant la continuité (voir album 27 « Les Poireaux du Crépuscule ») par exemple.
J’aimais bien organiser ce genre de jeux, mais c’est une rare magie quand tout fonctionne sans créer des embouteillages ou des compétitions décourageantes.
C’est presque comme la morale de l’histoire